Les leçons de l’abeille domestique

« A l’échelle vibratoire, la vie résulterait d’un équilibre dynamique entre l’influence des ondes reçues et celles des ondes émises ; l’interaction des deux types d’ondes étant totalement dépendantes de la nature des supports vibratoires constituant les cellules et en particulier de la nature des séquences de l’ADN. L’équilibre énergétique d’un individu va dépendre en premier lieu du maintien constant de cet équilibre oscillatoire de toutes les cellules qui le compose. »
Etienne Guillé Docteur en Sciences à l’Institut Curie – 1988

Les Sciences hermétiques enseignent que « Tout ce qui est en haut et comme ce qui est en bas » et que partout dans notre univers visible, aussi bien qu’en nous même, nous pouvons trouver les réponses aux grands mystères du « Cosmos ». Les Alchimistes, par exemple, tentent de rechercher la présence divine dans les constituants de la matière minérale, végétale et animale…

Dans cet article, c’est sur le troisième règne que nous souhaiterions vous amener et plus précisément sur l’Apis Mellifera ou abeille domestique. Pourquoi ? Car au sein du Geepi, plusieurs membres de l’association se posent des questions sur quelques points étranges, inhérents à cet insecte quasi domestique :

  • Les caractéristiques « occultes » de la cire d’abeille, utilisée depuis toujours dans la « magie opérative ».
  • L’interaction évidente de l’essaim avec les champs magnétiques, cosmo-telluriques et les émissions dues aux formes.
  • Les qualités informationnelles du miel, notamment sur l’organisme humain.
  • Leur intelligence et leurs méthodes de communication surprenantes

Tout semblerait indiquer que les abeilles aient accès à un niveau subtil de perception et d’existence : Pourrions-nous, en les étudiants, mieux comprendre l’univers où nous évoluons ?

1. Le langage des fleurs : une réalité qui ne nous est pas destiné

Le même face à face depuis 112 millions d’années…

Dans notre égocentrisme, nous pensons, à tort, que tout ce qui nous entoure existe pour nous-mêmes. Hors, plus la science repousse les frontières de la connaissance humaine et plus nous nous rendons compte que la nature existe pour faire perdurer un subtil équilibre dont l’Humanité (avec un grand H) ne semble pas faire partie, pire, qui n’a de cesse de le dégrader par sa simple présence.

Lorsque, dans nos balades, nous admirons un joli champ de coquelicot, un sous-bois tapis de pervenches ou de jacinthes des bois, nous pensons ce spectacle offert à nos sens, alors qu’en fin de compte les messages olfactifs et visuels ne nous sont pas du tout destinés.

En effet, depuis des millions d’années, un partenariat discret, mais vital, s’est opéré entre le monde végétal et les insectes butineurs. En ce qui concerne les Apidae, cet échange réciproque c’est bâti aux alentours de – 112 millions d’années (Crétacé supérieur), au moment du développement des premières plantes à fleurs (angiospermes). Ces dernières ont alors établi un langage adapté à leurs partenaires ailés.

Jouant tout d’abord sur l’odeur, ces végétaux ont profités de l’odorat exacerbé de l’abeille : le séquençage du génome de l’Apis Mellifera (terminé en mars 2006) a indiqué l’importance majeure de son l’odorat : 163 gènes pour ce sens contre seulement 10 gènes pour le goût.

Tout n’est qu’une question de point de vue.

Mais le sens de la vue n’a pas été laissé pour compte. Par l’entremise des pétales, les fleurs devant être butinées deviennent de véritables panneaux d’indications sur la présence de nourriture pour l’insecte. Les travaux de Karl Von Frisch, sur le dressage des abeilles, indique, entre autre, que l’animal ne perçoit pas le rouge alors qu’il distingue parfaitement l’ultraviolet.

Ainsi, dans l’exemple de la fleur d’onagre, nous apparaissant d’un jaune uni, cette couleur est en faite associé à de l’ultraviolet, devenant alors visuellement incontournable pour les pollinisateurs : c’est le « pourpre des abeilles ».

Dans un autre exemple, à l’autre bout du spectre lumineux, les inflorescences du marronnier d’Inde juste écloses sont d’un blanc crème avec des tâches jaunes au centre. Lorsque l’insecte, en suivant ces balises, a fécondé la fleur, ces tâches virent alors au rouge et deviennent donc invisibles aux insectes suivants. Mystérieuse intelligence du monde végétal qui semble tout bonnement connaitre les spécificités de la vue des insectes…

2. Un insecte au formidable instinct d’adaptation

Vers – 23 millions d’années, les abeilles sortent de leur refuge Himalayen.

On peut donc estimer que ce mutualisme fleurs/butineurs, associé au climat tropicale de l’époque (vers la fin du crétacé à -65 millions d’années) a permis le développement des Apidae ainsi que la multiplication de ses stratégies de subsistance. On pense notamment au travail coopératif : formant les premiers essaims autour d’un individu reproducteur central.

Les premières abeilles du genre Apis apparaissent durant l’Eocène moyen vers – 48 à -37 millions d’années. Mais suite à une baisse mondiale de la température vers – 23 millions d’années, les abeilles migrent vers le sud de l’Asie et développent une stratégie de protection du couvain dans des cavités naturelles (surement dans la région de l’Himalaya).

Le retour de la douceur du climat, vers -23 à -15 millions d’années va permettre à nouveau l’expansion de l’insecte dans le bassin méditerranéen, jusqu’en Europe. Des variétés d’Apis vont se différentier tout au long de la période allant de – 9 à -1 millions d’années jusqu’à faire apparaitre l’Apis Mellifera ou autrement appelée « Abeille noire », notre productrice de miel.

3. Naissance et développement de l’Apiculture

La peinture rupestre trouvée à la « Cueva de la Arana »

A la préhistoire, l’homme chasseur-cueilleur, va exploiter cette source inespérée de sucre, comme le montre une peinture rupestre trouvée à la « Cueva de la Arana », près de Valence en Espagne et datée de 6000 ans. On y voit un homme suspendu à des lianes, portant un panier pour recueillir sa récolte, la main plongée dans un tronc d’arbre à la recherche de rayons de miel.

On ignore la date et le lieu exact de la naissance de l’Apiculture…

La première ruche fut probablement issue du prélèvement d’un tronc d’arbre creux contenant un essaim. Plus tard, avec la maîtrise des techniques d’enruchage, apparaissent les premières fabrications de ruches artificielles, probablement faites de troncs creusés ou d’écorce de liège.

Bas relief égyptien montrant la vénération apportée par ce peuple à l’insecte butineur.

L’apiculture était courante dans le Haut-Empire égyptien à partir du 24eme siècle avant J-C. Des représentations ont été mises au jour dans le temple du roi Ne-Ouser-Rê à Abou-Gourab, où on voit des scènes montrant l’extraction et la conservation du miel.

L’apiculture est aussi une activité agricole importante en Grèce antique, surtout en Attique (voir les propos d’Aristote, Hippocrates et Dioscorides).

Les Hittites du Hatti (actuellement la Cappadoce) maîtrisaient l’élevage des abeilles dès le milieu du 2e millénaire.

Il existe plusieurs traités concernant l’apiculture durant la période de la Rome antique, Pline l’Ancien décrit avec précision certains modèles de ruche mobile en osier ou en liège (apiarium), Virgile y consacre le quatrième chant des géorgiques (sans compter les propos de Varron, Ambroise de Milan et Columelle).

Des modèles de ruches (ruche trouve son origine dans le mot gaulois rusca qui signifie « écorce ») en planches apparaissent dès l’Antiquité, il existait aussi des ruches tressées et en céramique. Elles furent en premier lieu faites de baguettes de bois entrecroisées, étanchées avec un mélange de bouse de vache et de cendres. Les ruches en paille tressée, plus tardives, sont mentionnées pour la première fois dans une ordonnance de Charlemagne datée de 799, le Capitulaire De Villis. La récolte dans ces ruches était pratiquée par étouffage total ou partiel de l’essaim, ou encore par la taille de rayons, cela conduisait à leur mort ou leur affaiblissement.

L’invention de la hausse remédie à ces inconvénients, et c’est à partir de ce moment qu’on peut commencer à parler d’élevage. En 1772, Jonas de Gélieu décrit la première ruche à hausse fonctionnelle dans sa Nouvelle méthode pour former les essaims artificiels. L’entrée dans l’apiculture moderne se fait avec l’invention du cadre mobile mis au point en 1844 par Debeauvoys.

4. Un éclairage sur la cire d’abeille

Sous produit animal issu du végétal, quels sont les secrets de la cire d’abeille ?

La cire est une excrétion produite par 8 glandes cirières localisées sous l’abdomen des jeunes abeilles, entre leurs 12e et 19e jours, pour bâtir les rayons de la ruche. L’abeille a besoin de 10 à 11 kg de miel pour produire 1 kg de cire (c’est donc un condensé de « soufres » de diverses fleurs au sens alchimique du terme).

La cire appartient à la famille chimique des cérides, elle est constituée d’acides et d’alcools gras à particulièrement longues chaînes (20 à 60 carbones). Son point de fusion est d’environ 64 degrés Celsius et sa densité de 0, 97. Elle est insoluble dans l’eau et résiste à l’oxydation.

Composition précise (source wikipedia) : Monoesters 35% / Hydrocarbures 14% / Diester 14% / Acides 12% / Hydroxy polyesters 8% / Hydroxy monoesters 4 % / Triesters 3% / Acides polyesters 2% / Acides d’esters 1% / Alcool 1% / Non identifié 6%.

Le miel n’était donc pas le seul produit tiré de la ruche. Les hommes ont compris rapidement l’intérêt de la cire produite pour le couvain. Outre son utilisation comme matière première dans la réalisation de bougies, de tablette de cire pour l’écriture, de cachetage de documents ou de médicament, elle pouvait être récupérée pour des usages beaucoup plus… « Cérémoniels »…

Qu’avaient compris les Anciens sur les secrets de l’abeille ?

Dans l’Egypte antique, nous pouvons en trouver plusieurs exemples. En effet, ses propriétés hydrophobes et antibactériennes en faisaient l’un des principaux ingrédients (parfois à plus de 87%) de la momification par les embaumeurs de l’Égypte ancienne.

Sur les tables d’offrandes, il était défini comme un produit de Mâat (déesse de l’équilibre universelle). La magie utilisait la cire d’abeille, pour les rites d’exécration tel l’anéantissement des ennemis. Les prêtres de Min (Dieu de la fertilité et de la reproduction) portaient le titre de « gens de l’abeille », car ils confectionnaient une espèce de vernis noir à base de miel et de goudron, dont on enduisait les statues divines.

Les temples égyptiens n’étaient animés que par une chandelle (l’âme du dieu) faite de cire d’abeille, rappelant la première lumière du monde (fréquences cosmiques initiales ?).

Cire_radio_cosmique

Dans « La cire d’abeille, une radio cosmique » (de Benoit Tramblay), nous pouvons trouver d’autres pistes sur l’utilisation occulte de la cire d’abeille :

« Utilisation de la cire dans la liturgie chrétienne

Si on regarde dans les grands courants religieux du monde occidental, la cire d’abeille a toujours été utilisée dans les rituels chrétiens, principalement dans les églises orthodoxes où elle est obligatoire. Les premiers chrétiens l’ont utilisée dans leurs rituels pour les célébrations liturgies. On retrouve aussi dans leurs statuts synodaux que les cierges doivent contenir au moins 30% de cire d’abeille, c’est un requis de base qui date du haut Moyen Age où les cierges d’autels devaient être posés de chaque côté du crucifix et contenir de la cire d’abeille. On n’a pas d’explication du pourquoi, mais cela fait partie des mystères de la chrétienté dirons-nous… »

En fait, il ne fait aucun doute que lorsqu’une vieille religion disparaissait sous sa forme exotérique, sa partie ésotérique était reprise par la nouvelle, embarquant ainsi les outils et les méthodes permettant d’accéder au divin. Bon nombre d’objets de la messe chrétienne sont issus des temples antiques et des autels de theurgie : huiles, encens, bougies en…cire d’abeille. En règle générale, vous remarquerez que les matières grasses et/ou volatiles sont des constantes dans toutes ces cérémonies.

« Utilisation de la cire dans les sciences occultes

Un terrible exemple de l’utilisation de la cire d’abeille lors de manœuvres « magiques ».

Si on regarde maintenant dans les traditions ‘obscures’, ‘magique’. Plusieurs textes parlent clairement que la cire d’abeille absorbe les énergies et qu’il faut brûler la bougie pour libérer l’énergie du plan astral et mental qui a été enregistrée et scellée dans la bougie de cire d’abeille (le plan astral représentant le monde des émotions, de l’illusion, et le plan mental, le monde de la pensée dans les 7 plans introduits par la Théosophie de Helena Blavatsky). La cire d’abeille est aussi préconisée dans les séances d’exorcisme afin d’accumuler les énergies malignes qui sont transférées… (et les détruire par le feu). On retrouve toujours la cire d’abeille dans les rituels de magie car elle est principalement une cire organique qui rentre très facilement en résonance avec le « monde vibratoire ». Elle permet de juxtaposer plusieurs plans énergétiques en elle-même, condense ces énergies positives ou négatives en un point focal, et lors de la sublimation de celle-ci par la flamme, ces énergies seront transmutées par le feu. On retrouve aussi dans certains rituels de magie, la confection de poupée de cire d’abeille en vue d’obtenir une guérison à distance sur une partie du corps ou pour jeter un sort (voir les rites d’exécration dans l’Egypte ancienne. »

Voilà une vérité occulte que nous pouvons percevoir par l’entremise de la cire d’abeille. De génération en génération, de religion en religion, les élites des clergés se sont transmis les secrets ésotériques pour se connecter au « Global », laissant le peuple dans l’ignorance de religions exotériques simplifiées et imagées. Il est un fait certain que des substances grasses et/ou volatiles ont cette capacité de simplifier la connexion entre l’Homme et le Cosmos (cf. Franz Bardon et ses condensateurs fluidiques dont nous parlerons dans un prochain article…).

Une autre explication doit être faite, rapport à mes expériences personnelles sur la cire d’abeille. Mes mesures radiesthésiques m’ont en effet permis de déterminer que la cire ne possède qu’une mémoire vibratoire à court terme (comme la RAM en informatique). Pour compenser ce problème, les « anciens » mélangeaient la cire à une matière plus dense telle que l’argile, le bois ou la pierre (qui faisait office de disque dur). Voilà pourquoi Franz Bardon, dans son livre « La véritable initiation magique » donne la recette de 2/3 d’argile te 1/3 de cire d’abeille pour la conception d’élémentaires (que je nomme personnellement Théraphims et sur lequel j’ai pu avoir des phénomènes tangibles).

Je me pose aussi des questions sur les effets vibratoires à long termes d’un meuble ou d’un escalier en bois entretenu avec de la cire d’abeille… Je laisse les « chasseurs de fantômes » à leurs réflexions sur les phénomènes résiduels…

Tout cela est absurde ? Voyons ce qu’en disent les scientifiques et les ingénieurs.

De la science hermétique à la science actuelle.

Les sciences dites « modernes » ont-elles pu prouver ce qu’avancent les sciences occultes à propos de la connexion de la cire d’abeille au divin? Des appareils en utilisent-ils les étranges capacités ?

Toujours dans « La cire d’abeille, une radio cosmique » (de Benoit Tramblay), on peut lire :

Dynamiseur_cire_abeille

« Dans les années 70, Marcel Violet (Ingénieur), inventa un dynamiseur d’eau basé sur le principe du condensateur de cire d’abeille : un bio-oscillateur(…) La description que fait Marcel Violet de son bio-oscillateur est la suivante : en utilisant une antenne adaptée, le système capte les ondes d’hyperfréquences, les séparant au moyen de filtres spéciaux dont le filtre le plus actif est constitué principalement de plusieurs plaques métalliques noyées dans la cire d’abeille. Des filtres délivrent alors à l’eau des harmoniques plus basses, que l’eau peut capter pour changer sa structure. En effet, le rayonnement cosmique n’exerce pas une action directe sur l’eau sans offrir de résistance et ne peut pas rentrer en résonnance avec l’eau en raison d’une trop grande différence de fréquences, pour cela, il faut un support vibratoire intermédiaire entre les rayonnements cosmiques et l’eau (c’est le cas lorsque l’eau de pluie traverse des sols constituant des supports vibratoires adaptés et acquiert des propriétés vitales, d’où ces eaux miraculeuses..). Dans notre cas, c’est la cire d’abeille qui est le support vibratoire, permettant ainsi à l’eau d’être dynamisée par ce rayonnement cosmique. A l’époque, des essais avec l’eau dynamisée ont démontrés une meilleure croissance tant sur les plantes que sur des malades, une amélioration de l’efficacité des traitements médicaux et un meilleur état général des malades(…). »

Un petit aparté pour faire le lien flagrant entre les capacités de la cire sur l’eau et les travaux de l’ingénieur Georges Lakhovsky sur les circuits oscillants et leurs effets sur l’eau des cellules vivantes. La cire et les circuits oscillant (tiges de cuivre en forme de torque), semblent capter de la même manière les fréquences Cosmiques.

Ainsi, ce que les religions et l’occultisme appellent « lumière divine » ou « Âkâsha », la science d’aujourd’hui le nomme « Ondes Cosmiques ».

Toujours grâce au précieux livre de M. Benoit Tramblay, nous apprenons que des recherches réalisées par l’Académie des Sciences (France) en 1960, ont permis de déterminer la fréquence des harmoniques issues de la cire d’abeille : elles étaient très nettement supérieure à 10 exp 24 puissance 26 soit la plage basse du rayonnement issus du cosmos. Un constat scientifique s’impose : la cire d’abeille capte le rayonnement cosmique et transmute ce dernier en basses fréquences afin de transmettre cette énergie vibratoire.

Les polygones réguliers dans la nature, sont-ils des indices de la présence d’une volonté intelligente supérieure, au cœur de la matière ?

Les rayonnements cosmiques étant en grande partie issus des étoiles (comme notre soleil => réalité du culte solaire ?), pouvons-nous faire un lien avec la théorie des neutrinos monopoles, particules qui selon le Docteur Souriau, seraient à l’origine des émissions dues aux formes et les particules messagères captées par les radiesthésistes ? La cire d’abeille pourrait-elle les capter ?

Pour terminer cette démonstration, j’attire votre attention sur la forme hexagonale naturelle des cellules de cire. Cette forme parfaite (au sens de la géométrie sacré de Platon et du nombre d’or), connue aussi dans le monde minéral via les cristaux, a le mérite de valoriser un maximum l’espace de la ruche pour le miel et les larves. Mais en tant que radiesthésiste, je ne peux m’empêcher de faire le lien avec les octogones et les décagones des Frères Servranx (radiesthésistes belges de renom) ou de M. De La Foye qui expliquaient, dans leurs livres, la capacité de ces formes (en radionique) à concentrer le champ « physique » ou à faire « résonner » la nature des témoins se trouvant en leurs centres…

A quoi les capacités de la cire peuvent servir à l’essaim d’abeille ?

Pour moi, il ne fait plus aucun doute que la cire d’abeille, fait office de « membrane d’émission-réception-condensation » permettant :

  • A l’essaim de recevoir les fréquences salvatrices du cosmos
  • Aux abeilles de mieux communiquer entre elles
  • D’avoir en permanence une balise de repérage lors des déplacements d’ouvrières à l’extérieur
  • De condenser les effets du miel et de la gelée royale, à destination des larves
  • De protéger les larves par ses capacités antibactériennes : il me vient l’image du placenta des mammifères !

Au final, les « Anciens » n’ont donc fait que détourner la cire d’abeille pour en exploiter le pouvoir de connexion au Cosmos.

5. L’abeille, un insecte connecté

« Abeille mètre » reprenant les cycles des différents individus de l’essaim

Si la cire d’abeille joue un rôle de filtre des ondes cosmiques, c’est logiquement que l’abeille doit posséder une sensibilité extrême à l’électromagnétisme et aux émissions de formes ? Qu’en disent les scientifiques et les Apiculteurs ?

Interaction des abeilles avec l’électromagnétisme

Pour se diriger, on sait que les abeilles butineuses utilisent le soleil, les odeurs… et aussi les fameux champs magnétiques terrestres. Cela a pu être mis en évidence par les travaux du professeur Yves Rocard sur la présence de cristaux d’aimant naturel présents chez tous les êtres vivants, en plus ou moins forte quantité : la magnétite.

Il parait donc raisonnable de penser que l’augmentation des rayonnements électromagnétique telle qu’il est émis par nos téléphones sans fil, le wifi, les ondes de basses fréquences, va jouer sur la bonne santé des butineuses.

Poursuivie durant une dizaine d’années, par les professeurs Hermann Stever et le docteur Jochen Kuhn de l’université de Coblence Landau, une étude a pour but de renseigner sur cette influence. Ainsi, durant l’été 2005 une expérience pilote a été menée sur la faculté et l’aptitude de retour à la ruche des abeilles soumises aux rayonnements électromagnétiques.

Les premières recherches mettent en évidence des pertes partielles d’abeilles pouvant atteindre jusqu’à 70 % des butineuses retournant vers la ruche si elles ont été soumises au rayonnement électromagnétique, par rapport à celles non exposées au rayonnement. Afin de vérifier les résultats obtenus l’expérience a encore été refaite en 2006 avec davantage de ruches et plus de précision.

Cette étude montre une perte de production de miel dans les ruches exposées et l’abandon de ces dernières par les abeilles. (http://www.robindestoits.org/attachment/97529/).

La magnétothérapie au service des essaims

Positionnement des aimant sur la ruche

Coté Apiculteurs, c’est de manière empirique que ces derniers ont pu vérifier l’ultra sensibilité de leurs essaims aux champs électromagnétiques.

Ainsi, l’un d’entre eux, Edouard Strezpek,  eu l’idée d’utiliser les aimants de magnétothérapie qu’il utilisait sur lui-même pour tenter de sauver le peu de ruches qu’il lui restait : « Peut-être que cela agit également sur les abeilles si cela agit en bien pour moi ».

Ses ruches périclitaient, ceci depuis plusieurs années. Il  perdait beaucoup trop de colonies chaque année, malgré les soins qu’il leur donnait. C’était arrivé a un tel point qu’il ne lui restait plus que deux colonies en piteuse état. Il réfléchissait et pensait sérieusement  abandonner l’apiculture. A partir du moment où il ajouta ces aimants sur ses ruches, il vit ses essaims repartir, la mortalité s’effondrer et la production en miel par ruche doubler. Il n’a plus eu besoin de nourrir ses colonies car elles devenaient assez lourdes à l’automne. Il les retrouvait très populeuses en fin d’hiver.

Jacques Kemp, président du syndicat témoigne qu’il connaît M.Strezpek depuis de nombreuses années. Il dit que c’est la personne la plus honnête qui puisse exister sur terre. Suite à la première expérimentation, Edouard n’osait pas parler de ses résultats car il avait peur de passer pour un illuminé. C’est très timidement qu’il en parla à son président du syndicat d’apiculteurs il y a environ deux ans.  L’expérimentation qu’il mène dure déjà depuis trois ans (2006-2009).

M.Kemp raconte : « En constatant la forme époustouflante et insolente  de ses colonies, alors que cette année là, dans le secteur, un grand nombre d’entre nous avions perdu la moitié de nos colonies et même beaucoup plus pour certains,  j’ai été convaincu qu’il y avait quelque chose d’intéressant là-dessous.»

Système d’aimant recouvert de cire d’abeille (http://www.electroculturevandoorne.com/)

Afin d’obtenir un résultat optimum, il est important d’enrober l’aimant par de la cire d’abeille de bonne qualité. La raison en est que le champ magnétique sud de l’aimant va traverser la cire d’abeille et transporter ainsi l’information plus loin dans la ruche. C’est un phénomène peu connu mais bien existant. Il est important de ne pas mettre de corps étranger chimique comme par exemple de la matière plastique entre l’aimant et la ruche. Autrement on court le risque de perturber la ruche en transférant les informations du plastique vers la ruche, en allant jusqu’à obtenir un arrière goût de plastique. Preuve que l’information est transmise par les ondes !

Il est aussi conseillé de mettre les aimants dans l’orientation respectant le champ magnétique terrestre. Le respect du champ magnétique terrestre est important pour les abeilles. Pour ce faire on met le pôle sud magnétique de l’aimant dirigé vers le sud de la terre, car le pôle nord géographique de la terre est un pôle sud magnétique, donc le pôle sud géographique de la terre est un pôle nord magnétique. Le flux magnétique va toujours dans le sens du pôle sud magnétique vers le pôle nord magnétique.

Depuis la sortie de l’ombre des ces essais l’utilisation des aimants sur les ruches a fait boule de neige dans le secteur.

Dans l’article de « Abeilles et Fleurs » de mars 2010, certains techniciens en électricité et électronique témoignent de leurs hypothèses de fonctionnement des aimants sur les ruches. Voici leurs idées :

« Nous sommes environnés des champs électromagnétiques alternatifs de toutes fréquences, somme toute assez faibles, mais si l’on ajoute un champ continu relativement plus fort on  obtient  un champ continu mais variable en amplitude. Un champ continu ne produit de force contre-électromotrice que quand il y a déplacement et en fonction du delta T. Or dans la ruche les abeilles marchent, se déplacent lentement (delta T grand) et le champ continu variable agit très peu sur leur système (la magnétite dans leurs corps). C’est pourquoi je crois en l’expérience. »

Les expériences découvertes par Mr Edouard Strezpek avec les aimants sur les ruches sont très honorables, elles prouvent une fois de plus que quand on n’a pas d’aprioris ou de préjugés, on est plus ouvert à essayer de nouvelles techniques qui peuvent peut-être paraitre bizarre, mais suivant nos intuitions on peut arriver à de réelles solutions.

Quand les radiesthésistes s’en mêlent : action des émissions dues aux formes sur les abeilles.

Le varroa est un acarien parasite de l’abeille
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Sur internet, vous pouvez trouver une exceptionnelle étude radiesthésique de M. Daniel Risy. Ce radiesthésiste a réalisé un travail rigoureux et original sur l’utilisation des « émissions dues aux formes » dans la lutte contre le varroa, un parasite naturel de l’abeille. Dans ce document de synthèse, on découvre une étude terrain réalisée sur 4 ruches, pendant 5 ans (2001-2006). Elle a permit de se rendre compte des effets bénéfiques des montages de formes géométriques sur la santé des abeilles infectées par le varroa : le montage permettant de freiner la progression du parasite et faisant perdurer les essaims infectés au-delà de 2 années supplémentaires.

http://danielrisy.free.fr/amis.htm

Ces formes géométriques n’ont pas été choisies au hasard, nous retrouvons là encore les études du Comte André de Bélizal et de M. Chaumery, de M. Jean De La Foye et de M. Jean Pagot : solénoïde, demi sphère, sphère et cristaux de quartz… Le constat est sans appel, les abeilles réagissent positivement aux champs émis par les formes !

Regard d’un entomologiste sur les abeilles : émissions de formes à cavités appelées CSE.

Victor Grebennikov, entomologiste russe est principalement connu pour sa découverte de ce qu’il a appelé l’effet CSE des nids d’abeilles. (Cavity structure effect ou effet des structures cavitaires), par lequel une structure faite de cavités multiples de formes géométriques en 3 dimensions produit des réactions physiques et biologiques.

http://quanthomme.free.fr/energieencore/grebennikov.htm

Le professeur Grebennikov en explique ces caractéristiques :

  • On ne peut pas faire écran au CSE ; comme pour la gravitation il affecte les organismes vivants à travers des murs, du métal épais et autres écrans.
  • Si un objet émetteur de CSE est déplacé à un autre endroit, l’être humain ne sent pas tout de suite le CSE mais seulement après quelques secondes ou minutes. Sur l’ancien emplacement on en garde une trace, ou un “fantôme” perceptible par les mains pendant des heures et parfois plusieurs mois après.
  • Le champ CSE ne diminue pas du tout avec la distance, mais environne les nids d’abeilles avec un système d’enveloppes invisibles et parfois nettement perceptibles
  • Les animaux (souris blanches) et des humains pénétrant dans la zone de CSE (même une zone très forte) s’y adapte bientôt. Il ne peut pas en être autrement car nous sommes entourés de partout par des cavités grandes ou petites, par des réseaux, des cellules de plantes vivantes et mortes (aussi bien que par nos propres cellules), par des bulles de caoutchouc mousse, de plastique expansé, de béton alvéolé, de salles, de couloirs, de toits, d’espaces entre les parties des machines, d’arbres, de meubles, de bâtiments.
  • Le rayon CSE a un impact plus fort sur les organismes vivants lorsqu’il est dirigé à l’opposé du soleil, et vers le bas, vers le centre de la Terre. (Suit-il le sens des neutrinos monopoles en provenance du soleil ?)
  • Les montres mécaniques et électroniques placées dans un champ CSE puissant commence à fonctionner de façon imprécise. Le Temps doit bien y être pour quelque chose

Sur ce dernier point, je vous invite à vous pencher sur les études du Mathématicien Jacques Ravatin sur les émissions de formes : notamment la notion « d’Ext ». En effet, il semblerait que la présence d’un ou plusieurs trous dans des objets, changent la nature vibratoire de l’objet et son impact sur l’environnement subtil.

grebtestfusain

Dessin de gauche, expliquant un des effets des CSE : des récipients scellés, avec des pailles et des fusains brûlés suspendus sur des fils d’araignée. Il y a un peu d’eau au fond pour contrecarrer l’électricité statique qui gêne les expériences faites dans de l’air sec. Si vous dirigez la pointe d’un vieux nid de guêpes, un rayon d’abeilles ou une touffe d’épis de céréales vers le haut de l’indicateur, il se déplace lentement de quelques douzaines de degrés.

Il n’y a aucun miracle à cela : l’énergie des électrons qui scintillent des deux corps aux cavités multiples crée un système total d’ondes dans l’espace, dans lequel une onde est l’énergie capable d’effectuer une répulsion mutuelle de ces objets – même au travers d’obstacles, comme une capsule d’acier à parois épaisses.

Ainsi, que se soit par l’expérimentation de physiciens, d’entomologistes, de radiesthésistes ou d’apiculteurs, des résultats mesurables font ressortir que la vie des abeilles est calée sur des mécanismes subtils liés aux émissions cosmo-telluriques, notamment via notre astre solaire et le magnétisme terrestre !

 6. Le miel ou l’E-miel : un composé informationnel des plantes

Le miel contient-il les caractéristiques des plantes qui le composent ?

Le miel est-il, tout comme les extraits de végétaux fabriqués en Spagyrie, un condensé des qualités d’une plante ? Il semblerait que la réponse soit « oui »… et nous ne sommes pas dans le laboratoire d’un alchimiste mais au CHU de Limoges.

Une longue étude pratique sur le pouvoir antiseptique des miels a été réalisé dans le service de chirurgie viscérale de cet hôpital, sous l’impulsion du Professeur Bernard Descottes, chirurgien et chef de ce service.

« Nous avons d’abord utilisé du miel toutes fleurs, que l’on trouvait dans la région », indique Ghislaine Pautard. « Puis, une thèse en pharmacie, réalisée à la faculté de Limoges, sur le pouvoir antibactérien des miels a montré que les nectars issus de plantes ayant des propriétés antibactériennes, telles la lavande et surtout le thym, avaient une activité antibactérienne encore plus forte« , ajoute-t-elle. Les bons résultats sont au rendez-vous ! « Nous avons vite vu que le miel avait un réel intérêt dans la cicatrisation, souligne l’infirmière.

Une étude comparative en double aveugle réalisée en 1988 a montré que, sur trois types de plaies, la vitesse de cicatrisation était presque deux fois plus rapide avec le miel qu’avec deux autres dispositifs médicaux reconnus ( Biogaze, Débrisan). « De 1984 à aujourd’hui, plus de 3 000 patients ont bénéficié de pansements au miel dans notre service« , indique Ghislaine Pautard.

Pourquoi le miel a-t-il ce pouvoir cicatrisant ? « On sait déjà que le miel possède des propriétés antibactériennes liées entre autres à son osmolarité et à la production d’eau oxygénée. La glucose-oxydase, enzyme sécrétée par les glandes hypopharyngiennes de l’abeille, transforme le glucose présent dans le nectar en acide gluconique, avec libération d’eau oxygénée », explique Ghislaine Pautard. « Par contre, on ignore encore ce qui se passe au niveau des plaies », poursuit-elle. Un groupe de recherche, composé de chercheurs de la faculté de pharmacie de Limoges, de l’IUT de Bourges et du CHU de Limoges, s’intéresse à la physiologie de la cicatrisation par le miel. Celui-ci n’a pas encore livré tous ses secrets !

7. L’abeille : personnification de l’intelligence de la nature

Les abeilles sont-elles capables de parler, de transmettre des messages complexes ?

anatomie_pollinisateur&pesticide

A Avignon, une équipe de scientifique de l’Inra, l’Institut national de recherche agronomique, menée par Yves le Conte, planche sur la question et s’apprête à publier des premiers résultats. Ils ont réussi à isoler des vibrations particulières émises à l’intérieur des ruches. Au premier abord, ces bruits paraissent anodins et indéchiffrables, mais en modélisant ces vibrations sur ordinateur, l’équipe a réussi à distinguer différents claquements secs, comme des « kak kak », qui pourraient correspondre à une forme de langage comprenant cinq à six « mots ». Cela confirmerait que les abeilles ont un autre mode de communication que celui des phéromones, le langage des hormones. Tout l’enjeu est de savoir si l’homme est en mesure de comprendre ce langage.

Comme si les phéromones et un langage ne suffisaient pas, les abeilles appliquent aussi une technique plus visuelle, basé ni plus, ni moins, sur… une danse !

C’est grâce aux travaux d’un observateur de génie, Von Frisch, que nous savons comment les abeilles se communiquent « des tuyaux » sur les champs mellifères les plus intéressants. Là encore, nous allons rester dans le domaine de l’extraordinaire, mais il faut vous y habituer, les abeilles ne font jamais rien de banal.

Danse_Abeille

Elles partent dans toutes les directions à la recherche des champs mellifères existants sur le moment. Lorsqu’elles trouvent un endroit plein de fleurs intéressantes, d’un coup d’aile, elles reviennent à la ruche, et expliquent à toutes les butineuses présentes dans la ruche, où il faut aller. Elles effectuent une danse frétillante ou danse en « 8 ».

Les cadres, dans une ruche sont verticaux. Lors du frétillement durant la partie rectiligne, l’éclaireuse indique l’angle formé par le soleil, la ruche et le champ nectarifère. Cet angle qu’elle avait calculé sur une projection horizontale, à l’extérieur, elle le reproduit sur le plan vertical. Les abeilles savent donc la direction qu’il faudra qu’elles prennent en sortant de la ruche. Par ailleurs, le temps mis par l’éclaireuse pour parcourir la partie rectiligne, indiquera aux copines, non pas la distance, mais la durée de vol (car le vent a une influence sur la vitesse de vol.)

Vous trouvez ça extraordinaire ? Et pourtant ce n’est pas tout. Pendant que l’éclaireuse fait sa danse frétillante, d’autres abeilles reviennent à la ruche pour y déposer leurs provendes. Si bien que l’éclaireuse peut être amenée à faire sa danse durant des heures…. Or pendant ces heures, le soleil bouge, et l’angle en projection horizontale du soleil de la ruche et du champ mellifère change. Et bien dans l’obscurité de la ruche, l’éclaireuse modifiera la partie rectiligne de sa danse pour toujours donner la bonne direction.

Ce qu’il faut savoir, c’est que les abeilles voient la lumière polarisée. Comme elles se dirigent par rapport au soleil, la nuit, elles ne sortent pas. Mais si le temps est couvert, elles voient la lumière polarisée et sortent normalement.

8. Une leçon d’humilité pour le genre Humain

cosmos

Nous nous croyons supérieurs aux autres règnes de la nature, ayant atteint un niveau de compréhension de notre environnement  que nous pensons inégalé, suffisant pour expliquer « l’Existant » et rejeter ce que nos sens ne peuvent appréhender. Mais voilà, un tout petit animal possédant 0,01 % des neurones qu’ont les humains, nous démontre par ses capacités extraordinaire qu’il est capable d’appréhender notre monde sous un angle totalement différent et avec une capacité d’adaptation sur plus d’une centaine de millions d’années :

– Visualisation-réception, des ondes cosmiques, des champs électromagnétiques (lumière polarisée, ultraviolet, CSE…), des données florales
– Odorat surdéveloppé
– Une intelligence, capable, lorsqu’elles rencontrent un certain nombre de fleurs, de calculer  le parcours le plus rapide entre toutes les fleurs différentes à butiner.
– Un langage multi support : chimique, verbal, visuel, permettant la communication de problèmes complexes, notamment le déplacements dans l’espace et le temps.
– Une stratégie de travail coopératif
– L’exploitation, en totale symbiose, des richesses du monde végétal…

Au travers de ce tout petit pollinisateur, dont nous dépendons pour nos récoltes, sachons prendre le recule nécessaire pour appréhender notre Univers sous un autre angle. Nos Anciens, par un moyen inconnu, avaient compris les effets de la cire d’abeille, et l’utilisait pour se reconnecter au Cosmos. Si la vie n’est qu’un subtil équilibre entre ondes reçues et ondes émises, prenons donc conscience de cet échange permanent et  réintégrons la grande équation du vivant. Faisons de notre Humanité solitaire un Essaim solidaire.

Bragi Bellovaque

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